Tous les gestionnaires d'expérience le savent. Il existe essentiellement trois types de management d'une entreprise.
Il y a d'abord le « management du laisser-aller ». Dans cette approche, le gestionnaire refuse de prendre les décisions qui s'imposent en espérant que l'écoulement du temps résoudra les problèmes de l'entreprise.
Il y a ensuite le « management autocratique ». Dans cette approche, le gestionnaire prend seul les décisions relatives à la conduite de l'entreprise en imposant son « One Best Way ». Il réfléchit en vase clos et est convaincu que ses employés n'ont rien à apporter de bon à la direction de l'entreprise.
Il y a enfin le « management de transformation ». Dans cette culture managériale, le gestionnaire est véritablement convaincu qu'il est tout autant périlleux de « laisser-aller » que d'imposer son « One Best Way ». Sa préoccupation est alors de fournir à ses employés un environnement de travail qui leur permettra de faire émerger par eux-mêmes les solutions aux problèmes de l'entreprise, les amenant de cette manière à s'associer pleinement à sa direction.
Dans cet environnement de travail, le gestionnaire joue essentiellement un rôle de facilitateur. Sa préoccupation permanente y est de transformer les employés ont de véritables agents de changement qui prendront collectivement en charge le développement de l'entreprise et assureront sa réussite.
Les caractéristiques de cet environnement de travail varient selon les entreprises. Mais il est important d'y retrouver les capacités suivantes :