Une entreprise qui décide de pénétrer des marchés étrangers doit soigneusement choisir sa forme d’internationalisation.
Ce ne sont pas en effet toutes les formes qui conviendront à l’entreprise.
Certaines peuvent exiger d’elle des ressources et des compétences qui sont hors de sa portée. Alors que d’autres formes sont tout simplement contre-indiquées parce qu’elles ne sont pas compatibles avec sa stratégie globale, au point de mettre – des fois – sa survie en péril.
Cela dit et, peu importe la forme d’entrée choisie, avant de décider de sa stratégie d’entrée sur un marché étranger, une entreprise devrait avoir préalablement évalué son et y avoir sélectionné des partenaires éventuels potentiels (voir Évaluation du potentiel des marchés étrangers & Identification de partenaires étrangers).
Il est à noter par ailleurs que certaines formes d’internationalisation se préoccupent moins de créer de nouveaux marchés pour l’entreprise que de renforcer sa compétitivité dans ses marchés existants. C’est le cas par exemple de l’impartition à l’étranger de certains processus d’affaires de l’entreprise (infrastructure TI, service à la clientèle, etc.) qui lui permet de baisser son coût de revient. C’est aussi le cas de l’entreprise qui décide de diversifier ses sources d’approvisionnement en s’adressant à des fournisseurs étrangers.
Quelles que soient vos attentes par rapport à l’internationalisation, nous pouvons vous aider à déterminer la stratégie d’entrée que vous pourrez réussir.
Dans ce champ de pratique, notre équipe répond à vos besoins de plusieurs manières, notamment les suivantes :
Évaluation de la stratégie d’entrée appropriée notamment parmi les formes suivantes : l’exportation simple vs la présence physique ; la filiale commerciale vs la filiale industrielle ; la coentreprise vs la filiale à propriété unique ;
Élaboration de plans d’entrée détaillés sur les marchés étrangers ;
Accompagnement et soutien des dirigeants dans la mise en œuvre de plans d’entrée de leurs entreprises sur les marchés étrangers.